Une si bonne nouvelle

COLES Johanna Marin, ROSS Lydia Marin

Le propriétaire écoute le rapport de son intendant, qui ne lui apporte exceptionnellement pas de lettre de sa mère. Car le papier à lettres a brûlé quand le bureau a pris feu lorsque l’incendie s’est propagé depuis les hangars… La mère de monsieur va bien : elle s’est juste cassé la jambe et foulé le poignet en sautant par la fenêtre. Quelle chance !  On croit entendre « Tout va très bien, madame la Marquise », en suivant cette histoire dont les illustrations tout en finesse font alterner le dialogue avec l’intendant et la scène qu’il décrit. Les paysages et les costumes montrent la Russie du temps des tsars, peintes de couleurs délicates, et les scènes principales sont encadrées de frises fourmillant de détails de la vie quotidienne.