L’oiseau sacré (Azur ; 2)

OGAKI Philippe

L’attaque du navire de Mycia a échoué, Sam et Nikki ont sauté dans le vide. Sauvés par Issuzu d’une dérive mortelle, ils sont vivants mais fugitifs. Une seule solution : chercher refuge au sanctuaire de Grand Oiseau, sacré, majestueux, et quasi inaccessible. De son côté l’implacable et glacial Armand ordonne de faire feu sur Providence. Les évènements qui s’ensuivent vont prouver que Sam et Niki ne sont décidément pas faits pour une vie tranquille : le temple qui les abrite est la proie de la fureur des Makinen.

Ça bouge, ça se bagarre, ça explose dans tous les sens et tous les coins de la stratosphère. Les machines sont toujours omniprésentes et extravagantes, le décor  peaufiné et les personnages hyper-actifs fidèles à eux-mêmes. Colorisation forcée et surcharge des vignettes accentuent le côté dynamique d’une histoire un brin emberlificotée où interagissent une multitude de personnages qu’on peine parfois à suivre. À suivre.