Liens de sang.

La narratrice, une hôtesse de l’air grecque, vit avec son père qui ne quitte guère son fauteuil. Lorsqu’il meurt, elle modernise l’appartement et rêve de séjourner dans une île avec K son amant préféré bien que ses relations amoureuses avec lui soient franchement nauséeuses. Après de mystérieuses péripéties, l’histoire se termine tragiquement.

Ce roman assez mal structuré et dont l’intérêt est dilué exprime peut-être la solitude d’une femme qui fait incessamment référence à son père et refuse de se voir délaissée par son amant. En dépit des situations humiliantes qu’il lui impose. Personnalité énigmatique, donc, qui vit paradoxalement entre ciel et terre et se préoccupe de son aspect physique. Ce premier roman de Maria Powell est décevant !