Les Inventeurs et l’étoile de la victoire (Les Inventeurs ; 1)

MORGEN A.M.

Le jeune Lord George Devonshire, troisième du nom, persuadé de porter malheur, vit en ermite dans sa demeure délabrée avec son vieux majordome Frobisher. Désargenté, le seul bien qui lui reste est la carte de l’Étoile de la Victoire léguée par son grand-père. Quand le document est dérobé par le corbeau mécanique de la demoiselle d’en face, il n’a d’autre solution que de courageusement sortir et traverser la place. C’est ainsi qu’il fait la connaissance d’Ava Byron, d’Oscar, du singe Ruthie. Quand le majordome de George est kidnappé, la folle équipe monte à bord d’un engin volant direction Genève, Venise puis une île déserte de l’Adriatique…  

La chasse au trésor aux accents streampunk se déroule sous le règne de la Reine Victoria ; elle est menée par trois jeunes adolescents ayant le même but mais des motifs différents. S’enchaînent mésaventures et indices disparus auxquels s’ajoutent secrets de famille, mensonges, soupçons de trahison et méprise, apportant zizanie et réconciliations entre les héros. C’est le premier tome d’une véritable aventure dynamique, aussi rocambolesque que sympathique, où l’on dîne avec Darwin tandis que le bateau d’un pirate à jambe de bois est sabordé par un engin mécanique sous-marin. Le mystère entourant « l’étoile de la victoire » sera-t-il levé dans l’épisode suivant ? (A.T. et P.E.)