Lady Crown (Ellis ; 1)

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New York : au pied de la statue de la Liberté, débute la quête de Crown pour retrouver les assassins de son père. Seulement Crown n’est pas celui qu’il croit et ne sait pas qu’il est manipulé par le groupe Ellis qui combat les « Éphémères », ces ectoplasmes engendrés par les délires oniriques de certains humains. Peu à peu l’histoire bascule dans une autre réalité qui, paradoxalement, fait la part belle aux rêves. Qui gagnera le combat final entre la réalité et le cauchemar des « abominations » ?

Un dessin inspiré des comics américains et un découpage nerveux aux couleurs nimbées de flou créent une atmosphère en cohérence avec l’intrigue, originale mais légèrement brumeuse. Un tome dédié à la mise en place de l’intrigue et des personnages mais qui n’en oublie pas pour autant l’action. Pour peu qu’on accepte le postulat de base, l’histoire fonctionne et on se prend à attendre la suite.