La malédiction du tigre

HOUCK Colleen

Kelsey trouve un emploi dans un cirque pour s’occuper d’un tigre blanc aux yeux bleus, pour lequel elle se prend d’affection. Elle quitte sa famille adoptive américaine pour partir en Inde continuer son travail de garde, accompagnant de M. Kadam, richissime Indien qui voyage dans son avion privé et descend dans les meilleurs hôtels. Kelsey apprend bientôt que Ren, le tigre, est en réalité un prince, sous l’emprise d’une déesse  : Durgâ. Il ne peut reprendre forme humaine que 24 minutes par jour. Avec l’aide de Kelsey, l’élue de Durgâ, ils vont essayer de lever la malédiction qui court depuis 300 ans.

Ren, beau comme un dieu, passe constamment de la nature humaine à la nature animale. Il est bien entendu que les deux héros tombent amoureux. Leurs aventures abracadabrantesques s’étirent et se répètent avec quelques éléments différents, selon le dosage : un zeste d’Indiana Jones et une grosse louche de romance indigeste. L’Inde qui sert de toile de fond, avec sa jungle luxuriante, ses temples riches en secrets et sa nourriture savoureuse, est garantie sans misère. À la fin, Ren peut rester humain 6 heures, et le méchant vient à peine d’entrer en scène. Au moins un tome à venir, donc -on n’ose imaginer trois.