Les tags attaquent. (Mickette.)

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 Eliot, timide et complexé par son physique, ne sait comment avouer son amour à Mickette. L’idée de taguer une déclaration sur le mur du collège tourne à la catastrophe : le lendemain matin, les mots du garçon sont entourés de slogans vitupérant les enseignants ! Puis, tout le quartier est recouvert de graffitis attaquant les commerçants. Tout semble accuser Eliot mais Mickette enquête.

Mêlant suspense et fantastique, en l’occurence des fantômes armés de bombes que le garçon a vu à l’oeuvre, l’angoisse n’est pas de nature à donner des cauchemars ; mais l’intrigue, mettant en cause les adultes et déboutant les accusateurs, procure un divertissement agréable.