Les Morsures de l’ombre

Un policier marié et père de famille, par ailleurs séducteur compulsif, se réveille un matin enfermé dans une cave sordide ; une très jolie rousse tente de lui faire avouer qu’il a jadis violé et tué sa soeur quand elle avait douze ans. Et par tous les moyens, tortures physiques et morales d’une rare perversité, elle veut le faire payer, jusqu’à la mort ! Les collègues, de leur côté, cherchent ; une jeune inspectrice, ancienne conquête de la victime, participe à l’enquête : peu d’indices… D’étranges et terribles révélations s’enchaînent tandis que la victime encaisse… De quel complot s’agit-il ? Le huis clos est très prenant, d’une violence croissante. Peu à peu, de courts épisodes révèlent une intrigue qui sous-tend l’histoire. La police souffre, l’enquête piétine. Tout en psychologie, ce roman vraiment noir ne laisse aucun personnage indemne. Le lecteur, lui, reste pantelant.