Le voleur de lettres

CARADEC François

&

 

Monsieur Lucas, le cordonnier, dĂ©couvre un matin avec stupĂ©faction qu’on a volĂ© deux lettres sur son enseigne. Quatre autres commerçants ont Ă©tĂ© victimes de la mĂȘme infamie, et portent plainte auprĂšs de Quoi. De qui ? De l’inspecteur Quoi, bien sĂ»r, chargĂ© des vols de lettres. Celui-ci leur fait prĂ©ciser la physionomie des lettres, les initiant ainsi – et le lecteur aussi – Ă  la typographie.

L’histoire est laborieuse et les explications bien scolaires
 Elle est suivie de six autres scĂšnes, de longueur et d’intĂ©rĂȘt trĂšs variables, dans une veine absurde qui joue avec les mots, les lettres ou la syntaxe. Il se dĂ©gage de ce recueil sans queue ni tĂȘte une pesanteur certaine que seule dissipe la derniĂšre histoire, plus classique et humoristique.