Jack Vandal

BACON Lee

Les parents de Jack sont de super méchants dotés de super pouvoirs qui tentent régulièrement de détruire la planète. Le capitaine Justice, un super gentil, intervient toujours à temps pour neutraliser l’horrible duo. Élève de 6ème parfaitement normal, Jack vit sous un faux nom et cache la vérité à son meilleur ami.  Le garçon découvre un jour qu’il est lui-aussi doté d’un super pouvoir (la combustion spontanée), tandis qu’une menace plane sur les méchants et qu’une curieuse nouvelle élève arrive au lycée.

 

Les péripéties et les trouvailles (gadgets technologiques en tous genres) s’enchaînent avec vivacité, dès le début, dans des scènes où la réalité et un univers hors du commun alternent. Prise au second degré, cette fiction traite sans ménagement les adultes, égratignant avec un humour percutant des gens obsédés par leur image et le marketing des produits dérivés. Le lecteur comprend au fil du récit que le bien et le mal, très relatifs, peuvent être incarnés par une même personne. Ce suspense bien entretenu (et à suivre),  joyeusement visuel, peut satisfaire à la fois les amateurs de sensations fortes et de parodies.