Montevideo
VILA-MATAS EnriqueAbonnĂ©En 1974, il vient Ă Paris avec le souhait de devenir Ă©crivain comme Hemingway. PoussĂ© par la faim, il vendâŠ
En 1974, il vient Ă Paris avec le souhait de devenir Ă©crivain comme Hemingway. PoussĂ© par la faim, il vendâŠ
Simon ne dĂ©colĂšre pas. Son frĂšre Rainer, piĂštre romancier Ă Barcelone, rencontre un Ă©norme succĂšs depuis son dĂ©part Ă New-YorkâŠ
Ă Barcelone, libĂ©rĂ© du travail par la faillite de son entreprise, le narrateur entreprend dâĂ©crire son journal. Sâinterrogeant sur lesâŠ
Au CafĂ© Bonaparte, ils se rencontrent de temps Ă autre. Lui, Vila-Matas, dont nous connaissons les approches prudentes et avisĂ©esâŠ
InvitĂ© Ă participer Ă la Foire internationale dâart contemporain de Kassel, un Ă©crivain catalan est censĂ©, en contrepartie, sâinstaller chaqueâŠ
Ă un colloque sur lâĂchec en LittĂ©rature, un Ă©crivain barcelonais chevronnĂ©, mais dĂ©cidĂ© Ă jeter lâĂ©ponge, rencontre le jeune VilniusâŠ
Il pleut sur Barcelone, Ă verse. Riba, ex-Ă©diteur prestigieux et ruinĂ©, aborde la soixantaine aprĂšs deux ans dâabstinence alcoolique. TouteâŠ
MalgrĂ© les dates qui le bornent (dĂ©cembre 2005 – avril 2008) ce journal a peu de rapports avec lâactualité⊠QuantâŠ
AprĂšs son volumineux Docteur Pasavento (NB mai 2006) consacrĂ© au thĂšme de la disparition, Enrique Vila-Matas revient Ă la formeâŠ
Parti pour SĂ©ville dĂ©battre des rapports de la rĂ©alitĂ© et de la fiction avec un de ses pairs, le docteurâŠ