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BERTI EduardoAbonnĂ©En 1978, Ă Buenos Aires, deux garçons ĂągĂ©s de quatorze ans, passionnĂ©s de sport et de la musique des Beatles,âŠ
En 1978, Ă Buenos Aires, deux garçons ĂągĂ©s de quatorze ans, passionnĂ©s de sport et de la musique des Beatles,âŠ
Un service de soins palliatifs. Des mĂ©decins, des infirmiĂšres, des aides-soignants, des accompagnants bĂ©nĂ©voles : des hommes et beaucoup deâŠ
Le narrateur, dont le pĂšre, de confession juive, a Ă©migrĂ© en Argentine en 1939, se rend sur son lieu deâŠ
Buenos Aires, annĂ©es 90. Le narrateur enterre sa mĂšre dans un cimetiĂšre chic. Ă quelques temps de lĂ , alors quâilâŠ
Ling vit, semble-t-il, dans une petite ville de Chine au seuil de la modernitĂ© â le cinĂ©ma existe â, auâŠ
Anecdotes, histoires, contes ou journal, ces douze nouvelles, brĂšves ou longues, ont en commun la mĂ©moire, la solitude, lâinexplicable. UnâŠ
Trois frĂšres Ă©voquent leur enfance Ă Buenos Aires Ă la fin du siĂšcle dernier. Ils devaient rendre visite toutes lesâŠ
Câest un thĂšme original qui inspire Eduardo Berti. Ă lâĂ©poque du muet, un cinĂ©aste imaginaire rĂ©alise plusieurs moyens-mĂ©trages oĂč leâŠ
De menus dĂ©calages avec le rĂ©el donnent vite l’impression de circuler dans un rĂȘve, peut-ĂȘtre celui du hĂ©ros, ce vieuxâŠ