Tant qu’il y aura des vaches

MARTEL Patricia

Alexandre, l’homme de sa vie, l’a quittĂ©e, il y a un mois.  Elle rumine sa dĂ©convenue, voire son chagrin, devant un troupeau de vaches dans leur prĂ© et, « la solitude aidant, entre dans une sorte de rĂȘverie mĂ©taphysique Â». S’ensuit une brutale illumination, rĂ©sumĂ©e ainsi : « Les hommes vivent et paissent comme des bovidĂ©s d’élevage Â». La jeune femme va dĂ©sormais soigner sa psychĂ©…

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