Qui sait

DELABROY-ALLARD Pauline

AprĂšs trente ans sans identitĂ©, Pauline se dĂ©cide Ă  faire le nĂ©cessaire. Carte en main, elle s’interroge sur les prĂ©noms accolĂ©s au sien : Jeanne, JĂ©rĂŽme, YsĂ©. À qui appartenaient-ils et pourquoi ce prĂ©nom masculin ? Dans sa famille, on se garde d’évoquer le passĂ©. Le jour du deuil, qu’elle qualifie de « jour blanc », lorsque son enfant naĂźt sans souffle, l’amĂšne…

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