Puisque tout le monde veut la guerre (L’Ancien Temps ; 2)

SFAR Joann

Cassian est un apprenti sourcier pas trĂšs douĂ©. Au contraire de NadĂšge, la petite-fille de son maĂźtre. Cassian aime NadĂšge mais celle-ci veut rompre avec lui. Il n’y a que la ville qui l’intĂ©resse. Elle finit par demander Ă  son grand-pĂšre de trouver une excuse de rupture pour Cassian, se transforme en renard et file vers la ville. Le jeune homme se lance Ă  sa poursuite avec le serpent que lui a donnĂ© son maĂźtre sourcier pour le protĂ©ger. Les rencontres de l’une et de l’autre se succĂšdent : un Dieu unique, des gĂ©ants, le fils d’un arbre, un chevalier, des ratapinatas, 
   La « patte » de Johann Sfar est inimitable, trĂšs personnelle. Le scĂ©nario est construit autour d’un « conte de fĂ©es » avec tous les ingrĂ©dients nĂ©cessaires dans ce domaine, monstres, dragons, sorciers et sorciĂšres, princesses et prince charmant. Mais l’histoire est bien alambiquĂ©e, un peu longue et trop d’aventures finissent par lasser. La fin arrive Ă  point nommĂ©, plus aurait Ă©tĂ© de trop ! (E.B. et Br.A.)