Maori Blues (Sisco ; 10)

BENEC, LEGRAIN Thomas

Sisco, ex-agent du service action de la DGSE, est envoyĂ© par ses anciens employeurs pour une mission de nettoyage en Nouvelle-ZĂ©lande. Il doit Ă  tout prix empĂȘcher que les deux membres du commando ayant commis un attentat qui a mal tournĂ©, et dont l’un a Ă©tĂ© gravement blessĂ© en tentant de s’enfuir, ne soient faits prisonniers, ce qui permettrait de remonter Ă  leurs commanditaires. Pour assurer le succĂšs de sa mission, tous les coups sont permis.  DixiĂšme volume de la sĂ©rie et deuxiĂšme partie d’une histoire commencĂ©e dans Gold Black – qu’il faut avoir lu pour comprendre une intrigue complexe et pleine de rebondissements, trahisons et coups fourrĂ©s. Maori Blues poursuit son exploration des affaires sombres de la rĂ©publique. Tout est inventĂ© mais on a l’impression de ne jamais ĂȘtre trĂšs loin d’une rĂ©alitĂ© cachĂ©e. Le scĂ©nario est manifestement inspirĂ© de l’affaire du Rainbow Warrior qui avait dĂ©frayĂ© la chronique dans les annĂ©es 80 quand la France avait envoyĂ© un commando plastiquer le navire amiral de Greenpeace dans le port d’Auckland. C’est efficace comme un bon polar. (V.L. et P.P.)