Le gardénia blanc.

ALEXANDRA Belinda

Nous suivons Anya, jeune Russe blanche établie à Harbin en Chine, sur le passage du transsibérien, de 1944, où elle a treize ans, à un certain 2 février en Russie soviétique où, jeune mère de famille, elle voit son destin s’accomplir. Que d’aventures, racontées à la première personne par Anya, sans apprêt… Chassée de Harbin par la fin de la guerre sino-japonaise, elle se réfugie à Shanghai où, à dix-sept ans, elle épouse Dimitri, l’amour de sa vie, enlevé peu après par une vilaine dame de Pique, Amelia. Puis Shanghai devient dangereux, elle fuit, connaît les typhons des îles du Pacifique, l’arrivée en Australie… Des amitiés, des épreuves avec, toujours en arrière plan, l’image de la mère chérie déportée en Russie soviétique.

 

Un premier roman, inspiré de l’histoire familiale de l’auteure, ce qui donne à toutes les aventures relatées un accent de vérité ; l’histoire est vue par le petit bout de la lorgnette et complétée par une courte notice remettant les événements dans leur cadre.