Grands froids (Sillage ; 17)

MORVAN Jean-David, BUCHET Philippe

La petite exploratrice NĂ€vis est, cette fois, envoyĂ©e seule sur une planĂšte pour une mission risquĂ©e. La population, hostile, y est Ă©trangement semblable aux Terriens, mais les ĂȘtres sont dotĂ©s d’une peau trĂšs blanche et d’un visage aux yeux soulignĂ©s de grandes taches noires. Les villes ressemblent Ă  celles de l’Europe Ă  la fin du 19e siĂšcle, avec une technologie plus Ă©voluĂ©e comme le montrent les hĂ©licoptĂšres. NĂ€vis doit s’emparer d’une sorte de sphĂšre rougeĂątre de la taille d’un ballon de foot, l’ornoshĂšre. Elle y parviendra aprĂšs moult pĂ©ripĂ©ties grĂące Ă  Jules, un enfant surdouĂ© de la planĂšte. Mais


Les scĂ©naristes ont galĂ©rĂ© cette fois pour concevoir un Ă©pisode qui fasse progresser la marche de Sillage. Bien sĂ»r, ils ont imaginĂ© un monde baroque, presque terrien, des ennemis farouches, des dĂ©cors insolites, aidĂ©s en cela  par un Buchet toujours aussi rĂ©aliste et appliquĂ© dans la reprĂ©sentation de l’univers interstellaire. Par contre, ils n’ont pas su Ă©veiller l’intĂ©rĂȘt autour de l’objet de la quĂȘte de NĂ€vis, ni donnĂ© beaucoup d’explications sur les personnages rencontrĂ©s et dĂ©jĂ  connus de l’hĂ©roĂŻne. Rendez-vous au 18 pour un nouveau dĂ©part.