Forteresses de solitude.

LETHEM Jonathan

Dans un quartier pauvre de New York vit le narrateur Dylan Ebdus. C’est  un petit garçon blanc qui va dans une école où il n’y a guère que des Noirs. Sa vie commence à la sortie quand il joue dans la rue avec ses jeunes voisins. Chez lui, il s’intéresse surtout aux bandes dessinées, son père peint pour le cinéma, sa mère est un peu folle. L’enfant grandit, change de classe, apprend à tagger, mais il reste le bouc émissaire et vit dans la peur. Dylan tente de s’adapter à un environnement hostile.

 

On s’attache à lui, pauvre “petit Blanc” solitaire qui essaie vainement de se créer une “forteresse”. Le style est assez évocateur mais le récit répétitif donne une certaine monotonie à l’ensemble.