Ce que je crois

ROMILLY Jacqueline de

Contemplation de la lumiĂšre tant en GrĂšce qu’en Provence sur la montagne Sainte-Victoire. CommunautĂ© de biens d’une nation : force de la loi, solidaritĂ©, civisme, Ă©ducation, respect d’autrui, dans un climat de libertĂ©. LittĂ©rature qui nourrit la vie et fait Ă©clater les limites imposĂ©es Ă  l’homme ; l’enrichissement du prĂ©sent par les leçons du passĂ©. Le tout en rĂ©fĂ©rence Ă  Platon, HomĂšre, Thucydide, Eschyle, Sophocle, Euripide
 En quatre chapitres, Jacqueline de Romilly n’exprime pas exactement ses croyances, mais « ce que l’expĂ©rience grecque peut nous aider Ă  croire en l’an de mutation 1974 ». Ce livre posthume, Ă©crit six ans aprĂšs mai 68, expose comment ce dialogue survolant vingt-cinq siĂšcles a renforcĂ© sa foi dans l’homme et son respect de la vĂ©ritĂ© et du bien, mĂȘme aux jours les plus noirs de l’Occupation pour elle qui Ă©tait juive. Cette rĂ©flexion originale, diverse sinon dispersĂ©e, dĂ©ploie son volontarisme et sa confiance dans la vie.