Satanie
VEHLMANN Fabien, KERASCOĂTAlors qu’un orage s’annonce, l’abbĂ© Montsouris tente de raisonner un groupe, et de les aider Ă sortir au plus viteâŠ
Alors qu’un orage s’annonce, l’abbĂ© Montsouris tente de raisonner un groupe, et de les aider Ă sortir au plus viteâŠ
Samuel Brussell est un essayiste et Ă©crivain cosmopolite, conseiller littĂ©raire auprĂšs de divers Ă©diteurs et revues. Son « feuilleton » aux couleursâŠ
16 personnages historiques inhumĂ©s,( ou pas ?) dans un des plus mystĂ©rieux cimetiĂšre au monde. Lâauteur a fait le choix deâŠ
SimĂ©on Nevzorov croupit dans une vie d’ennui peuplĂ©e de rĂȘves de gloire et de fortune. Il ne s’offre pas leâŠ
Paolo Eleuteri Serpieri est le crĂ©ateur dâune sĂ©rie de science-fiction Ă©rotique Ă succĂšs dont Druuna est la plantureuse hĂ©roĂŻne, sĂ©rieâŠ
Anna boit beaucoup, elle a toujours soif et urine beaucoup. AprĂšs une visite Ă lâhĂŽpital, Ă trois ans, alors queâŠ
Karolus Magnus sâinscrit dans le contexte de la marche de Charlemagne, roi des francs, pour aller soutenir le wali (gouverneur)âŠ
Lola, 17 ans, mutique depuis lâĂąge de 10 ans, fait sa rentrĂ©e au lycĂ©e professionnel hĂŽtelier section cuisine. En dĂ©pitâŠ
Dans la famille Dessibelle, les Ă©lĂ©phanteaux adorent participer au concours des plus belles oreilles. Seul Alphonse est exclu, il aâŠ
Lundi matin, ZoĂ© arrive à  lâĂ©cole avec un bras dans le plĂątre. « Comment tâes-tu cassĂ© le bras ? » lui demande son amie. Et voilĂ Â ZoĂ© qui part dans de grandes explications.âŠ
New York, dans le quartier de Wall Street, le temple du capitalisme naissant au tout dĂ©but du XXe siĂšcle. Bartleby,âŠ
Adventureman est le plus grand hĂ©ros de « pulps » de tous les temps, bien quâil soit maintenant relĂ©guer au ban deâŠ
Recueil de 368 pages composĂ© de la 4Ăšme réédition du volume Mirages enrichie de nouveaux « trĂ©sors » : recueil de planches, de couvertures et d’histoiresâŠ
Pas vraiment une bande dessinĂ©e des Bidochon mais un album concept original dâArt qui prĂ©sente vingt tableaux connus, ou non,âŠ
Ă Cracovie, durant lâhiver 1765, un certain Ivrahim Golam, surnommĂ© « le cosaque juif », efface les traces dâun homme dont leâŠ