Le syndrome de Beyrouth
NAJJAR AlexandreAbonnĂ©Jeune Libanaise, Amira sâengage contre lâarmĂ©e syrienne qui occupe son pays. Craignant pour sa vie, son pĂšre lâenvoie en FranceâŠ
Jeune Libanaise, Amira sâengage contre lâarmĂ©e syrienne qui occupe son pays. Craignant pour sa vie, son pĂšre lâenvoie en FranceâŠ
En 1940, Franz Stock, prĂȘtre allemand, amoureux de la France, fait partie de la Mission Catholique de Paris. ll visiteâŠ
Le Liban, petit pays coincĂ© entre la mer et les montagnes, aux dix-huit communautĂ©s religieuses, fut longtemps considĂ©rĂ© comme laâŠ
Observer la « planĂšte SuĂšde » lâhiver, les multiples Ăźles et parcs qui composent sa capitale, ses lumiĂšres hors duâŠ
En pleine crise de la cinquantaine, Sami, banquier Ă Beyrouth, dĂ©cide, sur un coup de tĂȘte, de quitter femme etâŠ
BasĂ© sur lâun des rassemblements sportifs les plus marquants du XXe siĂšcle, les jeux Olympiques de Berlin en 1936, leâŠ
Dâorigine phĂ©nicienne, le philosophe ZĂ©non a fondĂ© lâĂ©cole des stoĂŻciens Ă AthĂšnes. Au soir de sa vie, il raconte Ă âŠ
Alexandre Najjar Ă©voque, avec nostalgie, l’histoire du Liban Ă travers celle de son hĂ©ros Philippe nĂ© en 1992 Ă Beyrouth.âŠ