Quartier libre (Akademy ; 3)

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Anna, Sing, Alex, Joaquim, Key, Ward sont six jeunes délinquants à forte personnalité, membres depuis peu d’une organisation (étatique ?) parallèle. L’Akademy  les a réunis de force pour utiliser leurs talents délictueux – hacking, lutte, tir, maniement d’explosifs… –  dans un but obscur (vertueux ? On ne sait pas).  L’équipe se repose dans une riche villa de l’échec de la mission précédente (La cour des grands et À balles réelles, N.B. décembre 2007) et fait le point avec Banner, son chef. Il est question d’un mafieux, d’Italiens surarmés cherchant à les éliminer, d’une taupe qui aurait infiltrée l’équipe. Tandis que certains repartent à l’action, que d’autres filent à l’anglaise, ceux qui restent à la villa se font attaquer par des professionnels.

L’histoire est fort confuse, mais progresse : les personnages se précisent, la taupe est démasquée après des combats sans fin. Le graphisme réaliste aux couleurs acidulées, mais aux visages sans expressions, peut plaire aux amateurs de jeux vidéo. La série peine à créer l’adhésion autour de ces jeunes « StarAk ».