Presque rouge

Huit courtes nouvelles construites autour de la banalité du quotidien composent le premier livre de Sébastien Amiel. Un fil conducteur : l’apparente normalité masquant, soit la difficulté de prendre sa vie en mains, soit de vraies détresses. L’auteur dénonce alors le mal de vivre, les incompréhensions, les violences refoulées, la peur de la solitude ou de la mort. La description minutieuse des détails journaliers s’efforce de rendre la monotonie et la tristesse de ces existences qui s’effritent. Ton uniforme, inégalité des chutes : un ensemble factice.