Maurice et moi

Diego et Maurice son cheval de bois sont inséparables. Diego fait faire à son jouet tout ce qu’il veut : chevauchées, cavalcades et même séjour clandestin dans son cartable. Quand la famille déménage à la campagne, Diego fait la rencontre de sa vie : un vrai cheval ! Aussitôt le petit Maurice perd tout son attrait. Diego se comporte avec le cheval nature comme avec le cheval de bois et n’a de cesse que de l’avoir monté sur roulettes ! Mauvaise idée.

Le message se veut clairement pédagogique mais il est bien trop déphasé du possible pour que des petits en captent la teneur. L’improbabilité peut certes être un atout : pas ici ! Pourtant l’idée que tout dans la vie n’est pas manipulable comme un jouet et que l’affaire peut mal tourner n’était pas mauvaise. À dire autrement.