Les petits riens de Lewis Trondheim (Un arbre en furie ; 7)

TRONDHEIM Lewis

Trondheim travaille chez lui, prend sa voiture, suit une Porsche, prend le TGV, fait des rencontres, voyage, visite des pays comme l’Écosse ou le Canada 
 En rĂ©sumĂ©, il mĂšne la vie de n’importe quel Français-moyen aisĂ©. La diffĂ©rence qui le distingue de ce modĂšle, est qu’il ne se sĂ©pare jamais de son carnet de croquis ; tout ce qu’il voit devient objet d’observation, transformĂ© immĂ©diatement en images jetĂ©es sur une page en quelques coups de crayons. DĂ©jĂ  6 volumes ont paru.

Ce septiĂšme tome est bien dans la ligne des prĂ©cĂ©dents, et propose, sans avoir Ă  faire le moindre effort, des instantanĂ©s minuscules, dĂ©risoires, Ă©clairĂ©s souvent par un petit trait d’humour qui incite Ă  continuer de feuilleter les pages pour, Ă  nouveau, sourire doucement. Merci Ă  l’auteur de cultiver et transmettre cette capacitĂ© Ă  s’émerveiller de tout, Ă  garder un regard attentif et prĂ©venant Ă  chaque instant prĂ©sent. (Y.H. et Br.A.)