Le guerrier (Brüssli ; 2)

FONTENEAU Jean-Louis, JUNG Étienne

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Brüssli est sauvé in extremis d’une mort certaine grâce à Margot, la « puce à grande gueule », qui, aidée d’un lynx qui passait par là, le conduit chez Dorette von Fonfon dont le charme ne laisse pas insensible le jeune héros. Brüssli se refait une santé chez Dorette, la soeur de la redoutable Elzebeth qui, à la tête d’une armée de loups, réduit les hommes en esclavage dans sa mine, pensant y trouver de l’or. Grâce à son courage et son pouvoir de cracher le feu, Brüssli sauve les prisonniers, dont fait partie son père adoptif, et découvre sa vraie nature de petit dragon.

L’univers est farfelu et le scénario léger. Depuis la premier tome, l’histoire cherche son public tant d’un point de vue du scénario que du dessin, comme si d’une page à l’autre les auteurs se demandaient s’ils s’adressaient à des enfants ou des adultes amateurs d’humour au troisième degré. La réponse est encore incertaine…