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Lisbeth Salander revient en Suède après un exil de deux ans. Cette curieuse jeune fille, de très petite taille, est un “crack” en informatique. Elle avait déjà fait ses preuves, racontées dans un premier tome (Les hommes qui n’aimaient pas les femmes, N.B. juin 2006). Au journal « Millenium », on s’apprête à faire paraître une enquête sulfureuse sur un trafic de sexe et de drogue. Son auteur et sa jeune épouse sont assassinés et Lisbeth est immédiatement désignée comme meurtrière. Plusieurs recherches sont menées par la police et, parallèlement, par un ami de Lisbeth, Mikaël Blomkirst, qui ne croit pas à sa culpabilité.
Comme dans le précédent livre, l’histoire évolue laborieusement parmi de nombreux personnages, beaucoup de descriptions superflues et de développements sur les piratages informatiques et les théories mathématiques. Enfin arrive l’heureux dénouement de ce long thriller où le suspense est entretenu par des scènes terrifiantes à la limite du vraisemblable.