Entretien avec Fabienne Verdier

& &

Partie en Chine pour s’initier à la calligraphie, Fabienne Verdier se consacre maintenant à la peinture qui est pour elle un art de vivre et une quête de l’Absolu, de l’ineffable, Dieu peut-être. Au questionnement attentif de Charles Juliet, elle explique sa recherche d’une sorte de passivité, de non vouloir, qui lui procure des moments de bonheur parfait, d’extase… Le lecteur ne restera pas indifférent à la personnalité de cette femme exceptionnelle. Sera-t-il tenté de s’approcher de « l’infiniment rien » ?