Alviso Mocenigo
BRAUNSTEIN PhilippeAbonnĂ©RĂ©publique de Venise, dĂ©but du XVIe siĂšcle. Alvise Mocenigo, homme d’affaires puissant et avisĂ©, est de ceux qui commercent Ă©picesâŠ
RĂ©publique de Venise, dĂ©but du XVIe siĂšcle. Alvise Mocenigo, homme d’affaires puissant et avisĂ©, est de ceux qui commercent Ă©picesâŠ
Elle est nĂ©e Ă Marseille, rue dâAubagne, de pĂšre inconnu en 1827. Elle suit ThĂ©rĂ©sine, sa mĂšre, Ă Alger oĂč EugĂšneâŠ
Nicolas-Claude Fabri de Peiresc (1580-1637) est aujourd’hui quasi inconnu ; pourtant, illustre conseiller au parlement dâAix, il fut l’un des grandsâŠ
Soit un chĂąteau dĂ©labrĂ©, dans un temps et un lieu flous oĂč vivent « Jeh », chĂątelain sans Ăąge, et « Hrons », sonâŠ
EugĂšne Petitcolin (1855-1928), a Ă©tĂ© le 1er prĂ©parateur anatomique de lâĂ©cole vĂ©tĂ©rinaire de Maisons-Alfort ; Ă ce titre on lui doitâŠ
Enfant, Cosimo Ă©tait fascinĂ© par sa grand-mĂšre. Avec ses airs de sorciĂšre et ses pratiques un peu bizarres, elle faisaitâŠ
1863, un jour dâĂ©tĂ© Ă Groot-Zundert, Hollande. Vincent, dix ans, profite de lâabsence de surveillance pour lĂącher Ă©tude et crayonâŠ
Un village du golfe de Trieste, fin de la PremiĂšre Guerre mondiale. Paolo, en vacances chez ses grands-parents, observe etâŠ
Ă lâombre des bosquets qui entourent le palais dâUmi, la princesse royale Himiko minaude avec son futur Ă©poux quand surgitâŠ
Firmin Falaise, jeune diplomate et violoncelliste Ă ses heures, soumet Ă la ConfĂ©rence de lâAfrique de lâOuest en 1885 unâŠ
Flint est un escroc touche-Ă -tout, mais pas un tueur. Il commence Ă fatiguer et aimerait bien que Belmond, son Ă©nigmatiqueâŠ
Une jeune ethnomusicologue revient dans la vallĂ©e reculĂ©e oĂč elle passait des vacances, enfant. Elle a gardĂ© le souvenir dâĂ©trangesâŠ
Berthe Morisot, peintre impressionniste, et EugĂšne Manet, son mari, prennent le train pour la campagne. Elle est habillĂ©e de blanc ;âŠ
Paul CĂ©zanne chemine entre collines et vallons vers les crĂȘtes. Il ploie sous le barda de son chevalet, de saâŠ
Ă Sostigno, dans la vallĂ©e, Ă Testagno, dans la montagne au-dessus, la vie coulait un cours paisible au rythme deâŠ