Mes grands-parents sont timbrés
BESNIER Philippe, CORAZZA LyndaSur le mĂȘme principe que Mes parents sont marteaux (NB Juillet 2009), une petite fille s’Ă©tonne devant le rĂ©cit, pourâŠ
Sur le mĂȘme principe que Mes parents sont marteaux (NB Juillet 2009), une petite fille s’Ă©tonne devant le rĂ©cit, pourâŠ
Kid, petit chaton perdu, s’installe dans la vie de la femme au moment oĂč, dĂ©semparĂ©e par la mort de sesâŠ
« On va au parc ! » hurle un petit garçon aux cheveux roux. Mais papa, confortablement allongĂ© sur le canapĂ© du sĂ©jour,âŠ
Câest lâheure du thĂ©, ou du cafĂ©, le regard sâĂ©vade par la fenĂȘtre ouverte sur un coin de ciel bleuâŠ
Marcher sur les mains, mettre ses lunettes de soleil quand il pleut : Quidam cultive l’originalitĂ© et n’apprĂ©cie pas deâŠ
Nico n’est pas encore habillĂ© pour partir Ă l’Ă©cole. Sa mĂšre s’impatiente. Alors il fonce. Tandis qu’il enfile les diffĂ©rentesâŠ
TrĂšs Vieux Monsieur est Ă la retraite, tout le monde l’aime ! Il voyage Ă travers le monde, il raconteâŠ
Ă 19 h 27 mn et 32 secondes une femme en jaune marche dans la rue, une fillette l’observe deâŠ
Alors que son pĂšre raconte une anecdote Ă sa mĂšre, le petit garçon imagine une histoire trĂšs Ă©tonnante. En effet,âŠ
1940. CachĂ© sous un tas de bois un jeune garçon est attentif aux Ă©tranges messages que viennent Ă©couter en cachetteâŠ
Un enfant dĂ©couvre d’Ă©tranges taches noires sur son corps. Pire: elles semblent se multiplier. Quelle maladie Ă©trange a-t-il attrapĂ©? Serait-ceâŠ
Grandir et se sentir seule, parce que personne n’est lĂ pour combler les heures qui passent : une prĂ©ado tueâŠ
& &  Petit comme un poing est le tĂ©lĂ©phone de la maman de LĂ©on, grĂące auquel elle organise l’anniversaireâŠ
& & &  Dans un quartier anonyme oĂč il pleut souvent vit un homme gris. Les gens ne s’intĂ©ressentâŠ
& &  De face, de profil, de dos, d’en dessous, Ă l’ombre, floue ou nette, une baigneuse en maillotâŠ