Le convoi ; 2
TORRENTS Eduard, LAPIĂRE DenisNovembre 1975. Angelina, jeune femme dâorigine espagnole, Ă©tablie Ă Montpellier, reçoit un coup de tĂ©lĂ©phone de son beau-pĂšre, René : saâŠ
Novembre 1975. Angelina, jeune femme dâorigine espagnole, Ă©tablie Ă Montpellier, reçoit un coup de tĂ©lĂ©phone de son beau-pĂšre, René : saâŠ
« Qui sait ce que nous ne voyons pas et qui pourtant existe bien ? » – Cet aphorisme etâŠ
& &  Quatre vĂ©tĂ©rans de la Seconde Guerre Mondiale reviennent sur la CĂŽte dâOpale et se penchent sur leursâŠ
Cet Ă©tĂ© lĂ , prĂšs du cap Gris-Nez, convergent d’anciens combattants de la derniĂšre guerre. Erwin servait une mitrailleuse sur laâŠ
& & & &   Il n’est pas question de formuler une quelconque analyse sur ce chef-d’oeuvre archi-connu deâŠ
& & &  AnnĂ©es vingt. Marie se retrouve jeune veuve, aprĂšs la mort de son mari FĂ©lix Ducharme, Ă âŠ
& &  En mĂȘme temps que l’album Marie. (Magasin gĂ©nĂ©ral ; 1.) (voir analyse ci-dessous), l’Ă©diteur propose cet opus original.âŠ
AprĂšs une complicitĂ© de presque vingt-cinq annĂ©es dans les âcitĂ©s obscuresâ, les deux compĂšres imaginent un Best Off de ceâŠ