Tout est à sa place dans ce chaos exponentiel (Les petits riens ; 8)

TRONDHEIM Lewis

La pensée du jour tourne autour de la collection des billes de cartouches d’encre, de la profession de boucher en Irak, de la tenue des jeunes filles en 2018, du rangement de livres, de la conscience historique et de sa relation avec notre confort actuel, de l’âge requis pour faire du skateboard, de la politesse … et de bien d’autres choses plus insignifiantes ou intéressantes (c’est selon) les unes que les autres, qui font notre quotidien et sont une accumulations de petits riens !  Voici le numéro 8 des petits riens. Et donc, rien de de nouveau que de nouveaux petits riens. La vie est croquée sous forme de saynètes basées sur une réflexion, une vision, une pensée, une réaction. Cela amène-t-il à la réflexion ? Peut-être, parfois ! Les personnages anthropomorphes assurent la neutralité, les dessins figuratifs et travaillés sont agréables. Il faut aimer musarder sur des questions variées à la suite de l’auteur pour prendre plaisir à ce type de narration. (E.B. et A.R.)