Plus vivant que la vie

DUBOSC Anna

Sa mĂšre est morte. La narratrice raconte, se souvient, tente de conjurer l’objectivitĂ© de cette mort par une Ă©vocation minutieuse des jours d’avant, des jours d’aprĂšs
  en forme de journal. On pense Ă©videmment en entrant dans ce texte aux premiĂšres lignes de L’Étranger : « Aujourd’hui maman est morte, ou peut-ĂȘtre hier, je ne sais pas (
) Cela ne veut rien dire Â»…

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