Pierre qui roule. Adapté du roman de Donald Westlake

LAX

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John Dormunder, un repris de justice aussi talentueux dans l’art de planifier les cambriolages que malchanceux lors de leur réalisation, doit voler une émeraude pour le compte du major Iko, ambassadeur du Talabwo. Une équipe est constituée, et l’opération semble avoir réussi… Malheureusement, Greenwood, qui était en possession de la pierre, est arrêté. Les complices doivent le faire évader pour récupérer l’émeraude et recevoir une juste rétribution de leur travail. C’est bientôt chose faite, mais Greenwood doit reconnaître qu’elle n’est plus en sa possession : il l’a avalée, puis… récupérée et cachée dans une cellule du commissariat. 

 

Les péripéties s’enchaînent de façon très plaisante, sans temps mort. Le dessin, réaliste et parfois caricatural, ne manque ni de charme, ni de qualités esthétiques. L’adaptation que Lax a réalisée du roman de Westlake lui permet de réussir une très bonne BD.