Ma chienne de vie

THURBER James

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Éditorialiste au New Yorker dans les années 1927, c’est à Colombus dans l’Ohio que James Thurber se familiarise avec le métier de journaliste. Écrivain par ailleurs, il accompagne souvent ses textes de dessins humoristiques. Ainsi dans « Ma chienne de vie », se remémore-t-il, croquis aidant, certains événements saugrenus de sa jeunesse au sein d’une famille passablement décalée. Grand-père, père, mère, fils, chiens concourent à se faire peur, la nuit surtout, à partir de bruits suspects ou de rumeurs extérieures. L’auteur exploite quiproquos et crédulité des protagonistes… avec un humour enfantin. L’engrenage est parfois franchement hilarant.