Les cavaliers (Capricorne ; 17)

ANDRÉAS

Ash Grey et le passager voguent sur l’ocĂ©an, Ă  la recherche d’une Ăźle volcanique sous-marine. Ash plonge, s’enfonce dans les profondeurs liquides, pour rencontrer
 le capitaine Onslow, ou plutĂŽt Dahmaloch ? Au mĂȘme instant Ă  New York, Ron Dominic, le nouveau Capricorne, doit « empĂȘcher les cavaliers d’arriver ». AccompagnĂ© d’Astor, il s’enfonce sous le gratte-ciel, et dĂ©couvre une sorte de tour de Babel inversĂ©e. Continuant Ă  descendre, il croise des squelettes, puis les quatre cavaliers de l’apocalypse. Heureusement Astor connaĂźt le nom de l’un des quatre.

Monstrueux album puzzle.  Il faut lire chaque piĂšce, comprendre le contour de chaque Ă©pisode dans l’épisode, de chaque flash-back vers quelques-uns des 16 tomes prĂ©cĂ©dents. Pas d’autre solution que de lire, puis relire en se laissant embarquer dans ces univers parallĂšles que le dessin sait si bien restituer. L’oeil du lecteur passe de la vue d’avion au gros plan, les cases elles-mĂȘmes s’imbriquent, se dĂ©calent, se superposent, et finalement indiquent la sortie ! Une performance rĂ©servĂ©e aux passionnĂ©s de fantastique dĂ©bridé !

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