Entre Londres et le Pays de Galles, il a vécu à Paris, derrière le Panthéon, des années de solitude choisie, ordonnées tout entières autour de son travail de traducteur, de flâneries ritualisées dans « le monde d’en bas » au bout de la rue Saint-Julien et de soirées bercées par l’Orfeo de Monteverdi ou les lectures des Regrets de Du Bellay. Une…
Le cimetière à Barnes
JOSIPOVICI Gabriel
