La loge. (La conjuration d’Opale ; 2.)

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1628 : les héritiers des naufragés de la peste sauvés par Nostradamus, porteurs chacun d’une opale (Le serment, LJA septembre 2005) se sont retrouvés pour former la Conjuration d’Opale. Après bien des embûches, Éric le mercenaire, Walaya l’aventurière et Joachim l’alchimiste voguent vers Anvers pour y rencontrer un célèbre gemmologue et lui faire analyser les opales. Pendant ce temps, les conjurés de la loge Ars Magna se réunissent dans le but de retrouver les écrits manquants de Nostradamus, et de mettre fin par tous les moyens au lien qui unit les possesseurs des trois pierres.

L’intrigue se complique par rapport au premier tome et le contexte historico-ésotérique prend de l’importance. Quant à la palette de l’illustrateur, elle est toujours magnifique. Les décors tant extérieurs qu’intérieurs – minutieuse description de la ville d’Anvers ou reconstitution de logis flamands – sont un régal pour l’oeil.