J’irai où tu iras (La rose écarlate ; 3)

LYFOUNG Patricia

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Le Renard jette le masque et Maud découvre avec stupeur qu’il n’est autre que Guillhem de Landrey, justicier à ses heures pour tromper l’ennui. Furieuse, elle se résigne à accepter son aide pour retrouver le meurtrier de son père. Seule piste, un vieux carnet de voyage… qui leur est volé. Les jeunes gens apprennent, grâce à un dessin qu’ils ont recopié, qu’il leur faut récupérer une bague au pouvoir maléfique, dérobée aux Templiers, à présent dans un coffre à Versailles. Ils s’introduisent à la cour mais un proche du roi convoite le bijou…. Rendez-vous dans la salle du trésor.

Ancré en France au XVIIIe, ce troisième tome d’une série prévue en cinq volumes, est mené rondement. Dans un découpage dynamique, de l’aventure, du romantisme, de l’humour, on y croise le fer et les capes virevoltent. Les héros au caractère bien trempé sont fortement inspirés des personnages de mangas. La palette décline les planches dans des camaïeux de brun et or ou de violet et mauve donnant une belle luminosité à l’ensemble.