Dix jours qui ébranleront le monde

MINC Alain

En écho aux Dix jours qui ébranlèrent le monde de John Reed, à l’annonce de la fin de l’Histoire par Fukuyama, et à la notion de changement de Michel Foucault, Alain Minc imagine dix jours qui ébranleront le monde lors d’événements chocs plus ou moins probables, déterminants pour l’avenir proche ou lointain : « le jour où Gazprom lancera une OPA sur Total », « le jour où Google rachètera le New York Times pour un dollar »…

 

Cet essai prolonge en quelque sorte la réflexion amorcée dans Ce monde qui vient (NB janvier 2005). Le propos facile est habilement amené par le scénario des dix journées. Chacune d’entre elles constitue un chapitre en forme d’alerte aux défis lancés par la Russie et la Chine, par l’élargissement de l’Union européenne, par l’Internet, par l’imprévisibilité de la démographie, par les législations sur la parité… Au final, c’est la vision d’une planète profondément ébranlée et remodelée selon de nouveaux schémas.