À mes amourEs

GALEA Claudine

 

Rosalie a envie de raconter des histoires d’amour, particulièrement celle de Natacha et Mélanie, ses deux mères. Elle discute avec son amie Lucie qui habite avec Virginie et Léo, le deuxième ami de sa mère. Dans la classe, il y a beaucoup de familles recomposées, hétéro ou homosexuelles. Kevin a deux papas, Rosalie a deux mamans… Elle essaie de relier tout ce monde qui s’aime, se sépare, s’entend plus ou moins bien. Mais quand la maîtresse explique la reproduction, les choses se corsent et la petite fille demande à Natacha et à Mélanie comment elles font pour s’aimer…

 L’auteur insiste beaucoup sur l’amour entre les personnes, interprété de façon précise par des dessins au crayon noir, alors que la recherche de Rosalie se heurte à des situations compliquées qui lui semblent pourtant toutes naturelles. Est-il utile et nécessaire de donner tant de détails, émaillés de« fotes » d’orthographe, même si elles sont l’occasion de jeux de mots ?