Séparé, père d’une Sofie, et atteint d’une maladie dégénérative, l’auteur, la soixantaine, se souvient. Il évoque sa première vision fugace d’Anna, à l’entrée d’un cinéma il y a bien longtemps, alors qu’il étudiait la philosophie et écrivait des poèmes. « Elle était là dans un rayon de soleil, les yeux fermés », cette fille cultivée, fille de chercheurs, libre, indépendante, curieuse,…
Au fond des années passées
GRONDAHL Jens Christian
