Tout est bien puisque tout finit

CESSOLE Bruno de

Lors de la remise de son prix Nobel de littĂ©rature Ă  Stockholm, l’écrivain français d’origine portugaise Baltazar dos Santos – 1m90, 110 kg, divorcĂ©, deux enfants majeurs, buveur au fort caractĂšre –  stupĂ©fie son auditoire dans son discours de remerciement en accusant l’AcadĂ©mie suĂ©doise de rĂ©compenser une Ɠuvre qui ne le mĂ©rite pas : si elle est volumineuse, elle est de…

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