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Le commissaire Van In est appelé dans une chambre d’hôtel où gît le cadavre d’un homme nu. Sur la table de nuit, une carte bleue au nom de Wim Raes. Rapidement il apparaît que le mort n’est pas le véritable Raes : celui-ci est assassiné à son tour. Van In, qui doit épouser la belle juge Hannelore quinze jours plus tard, se lance à corps perdu dans l’enquête et provoque la jalousie de la magistrate. Leur couple survivra-t-il à cette affaire ? Ce roman, publié en 2003, treizième de la série « Van In » (L’affaire du tarot, NB septembre 2013) est conçu comme un vaudeville : quiproquos, jalousies et tromperies entre les deux fiancés s’accumulent alors que la meurtrière, qu’on connaît assez vite, est une épouse bafouée. Le commissaire enchaîne les colères, les cigarettes et ingurgite des litres de bière (belge) pendant que son fidèle second, Versavel, homosexuel, tente de lui éviter les foudres de leur supérieur. Scènes de ménage et réconciliations sur l’oreiller alimentent cette histoire assez décousue.