La danse du diable (Niklos Koda ; 11)

Dans Shanghai où s’entremêlent tradition et modernité, Niklos Korda veut rencontrer Monsieur Lim, magicien comme lui, qui possède le livre VI des Plaintes et des Pleurs. Magique et ouvrant les portes du temps, ce grimoire peut aussi se révéler maléfique et conduire à la folie. Grâce à ses pouvoirs surnaturels, Korda veut le détruire pour protéger sa fille en possession, elle aussi, de pouvoirs inquiétants. Mais Korda n’est pas seul à vouloir ce grimoire. À la vente publique organisée au décès de Monsieur Lim, Korda va rencontrer de vieilles connaissances dont son éternel rival Hali Mirvic. Bien vite un combat les oppose à grand renfort de pouvoirs magiques extrêmes. Qui des deux rivaux va l’emporter ? Un troisième larron pourrait-il encore rafler la mise ?

La Danse du Diable est le premier album d’un nouveau cycle des aventures de Korda, le diplomate qui sait apprivoiser les forces mystiques. Si réapparaissent compagnons et adversaires fréquentés dans les dix épisodes précédents de la série, c’est autour des siens et plus particulièrement de sa fille Séléni que Dufaux bâtit ce tryptique. Le dessin toujours léché mais ici un peu froid porte bien la série.