Viens, le bonheur c’est par lĂ
MALROUX AntoninAbonnĂ©Auguste, veuf et ĂągĂ©, a cĂ©dĂ© sa ferme Ă son fils. Tous les jours il monte avec son chien jusquâĂ âŠ
Auguste, veuf et ĂągĂ©, a cĂ©dĂ© sa ferme Ă son fils. Tous les jours il monte avec son chien jusquâĂ âŠ
Seule hĂ©ritiĂšre du chĂąteau ancestral pĂ©rigourdin de la famille de V., Elina Savary a hĂąte de le vendre. Elle aâŠ
Aux Mimosas, la sympathique maison de retraite de Valuejols (Cantal), l’effervescence est Ă son maximum avec l’approche de NoĂ«l etâŠ
En 1912, Madeleine Fourcade, treize ans, fille de mĂ©tayer, entre comme domestique chez les Amiel, famille bourgeoise de lâindustrie duâŠ
Louis revient dans un petit village de lâarriĂšre-pays des Alpes Maritimes dans la maison de ses grands-parents dont il aâŠ
ValuĂ©jols, petit village pittoresque du Cantal. En ce mardi prĂ©cĂ©dent NoĂ«l, les six membres du Tricot-Club se retrouvent au cafĂ©âŠ
Sur le paquebot qui la ramĂšne en France en juin 1964, Claire de Puymagnac, mĂ©decin, la presque quarantaine sĂ©duisante, aâŠ
Le 25 juin 1940, au chĂąteau de SĂ©guiliĂšres prĂšs de BrantĂŽme en Dordogne, zone encore non occupĂ©e, on tente deâŠ
Dans le haut du petit village de Bon vent (au lieu-dit Belle vie !) se trouvent deux fermes semblables deâŠ
CĂ©line, jeune femme habitant un petit studio Ă Paris, est trĂšs affectĂ©e par une rĂ©cente rupture avec Sören, quâelle avaitâŠ
Ă la veille de la Grande Guerre, Louise, dite « La Ferveur », abandonnĂ©e Ă la naissance, est placĂ©e comme gouvernante chez lesâŠ
Alors que la guerre de cent ans sâĂ©tire un peu plus chaque jour, Jeannette de Bellengues sâennuie auprĂšs dâun Ă©pouxâŠ
NĂ© dans une famille de marins, Yann se rĂ©vĂšle trĂšs vite un homme de la mer mais aussi un ĂȘtreâŠ
Xavier et Sandy, mĂ©nage de trentenaires modestes, habitent Toulouse. Un ordinateur abandonnĂ© Ă la dĂ©chetterie, en bon Ă©tat apparemment, queâŠ
Champigneulles, en Lorraine. JosĂ©phine, dite « Fine », mariĂ©e Ă Lucien, mort en 1933, a eu onze enfants. LâainĂ©e, Agathe, Ă©pouse dâEugĂšneâŠ