Fleur de charbon
BOURDON FrançoiseSaint-Ătienne, 1868. Cohabitent, dans les bas-fonds du bassin minier, le monde du prolĂ©tariat, reprĂ©sentĂ© par la famille Pasteur, et, dansâŠ
Saint-Ătienne, 1868. Cohabitent, dans les bas-fonds du bassin minier, le monde du prolĂ©tariat, reprĂ©sentĂ© par la famille Pasteur, et, dansâŠ
NaĂŻs est submergĂ©e de travail : outre l’entretien et la gestion du mas Bagnol et la production de lavande, elle estâŠ
1991. AprĂšs avoir perdu son poste de directrice de casting au parc de loisirs des Cigalines, Cathy, la fille duâŠ
Ălisa a dix-huit ans. « Fille de l’Assistance publique », ce qui n’est pas une bonne Ă©tiquette en 1906 Ă L’Isle-sur-la-Sorgue. NaĂŻveâŠ
Lou Monteil passe une audition pour le rĂŽle principal dans un spectacle donnĂ© par le parc dâattraction des Cygalines dansâŠ
Camille, orpheline, Ă©levĂ©e par sa tante Estelle, travaille chez une lingĂšre Ă Montmartre et rĂȘve de dessiner. Elle rencontre unâŠ
1910. Florian NoziĂšre est dĂ©putĂ© socialiste dans le sud. Il rencontre une jeune veuve, riche propriĂ©taire des Salins du SudâŠ
Lina vit une enfance heureuse dans une famille aisĂ©e en Creuse. Quand son pĂšre haut fonctionnaire Ă la prĂ©fecture estâŠ
Dans les Alpilles, le parc touristique Les Cygalines, dĂ©diĂ© Ă la culture provençale, rencontre un grand succĂšs mais il estâŠ
Auparavant urbaine et aisĂ©e, Sylvia Labrousse, quarante ans, se rĂ©fugie en Dordogne aprĂšs un traumatisme dans une ferme abandonnĂ©e hĂ©ritĂ©eâŠ
Une semaine avant NoĂ«l, prĂšs de la rocade Bordeaux-Est, des hommes armĂ©s font irruption dans un centre commercial et prennentâŠ
En 1950, Justine, adolescente dans une famille paysanne de VendĂ©e, refuse de suivre la voie traditionnelle imposĂ©e par ses parentsâŠ
Ă Saint-Ătienne, Ă la fin du XIXe siĂšcle, Alexandrine, fille et sĆur de mineurs disparus, Ă©pouse Marin Rousselet, un « fils de famille »âŠ
Neuf nouvelles, toutes situĂ©es en Provence, terre dâĂ©lection de lâauteure. Chacune dâentre elles implique un Ă©vĂ©nement passĂ© ou rĂ©cent quiâŠ
En 1915, alors que des milliers de soldats sont morts, cibles facilitĂ©es par leurs uniformes de couleurs voyantes, rouge etâŠ