Les ours blancs ne perdent pas le nord
GAITET RichardAbonnĂ©Au pĂŽle Nord, la banquise est dĂ©rĂ©glĂ©e : il fait de plus en plus chaud et les hommes sont partout.âŠ
Au pĂŽle Nord, la banquise est dĂ©rĂ©glĂ©e : il fait de plus en plus chaud et les hommes sont partout.âŠ
Un couple de chercheurs, les Zweig, ont inventĂ© une lampe qui permet de voir l’ombre nĂ©buleuse des gens, invisible Ă âŠ
La famille se prĂ©parait Ă partir en vacances au bord de la mer, mais comme tante Brigitte est morte sansâŠ
Ce rĂ©cit documentaire, qui se dĂ©vore comme un roman dâaventure, est Ă©crit Ă deux mains : Chiara Morosinetto est biologiste deâŠ
Nous sommes le 31 dĂ©cembre 1929. Le jeune Apollodore vit dans lâhĂŽtel maudit de lâhorloge dans lequel il a Ă©tĂ©âŠ
Pendant son sĂ©jour chez ses grands-parents, Ă la campagne, InĂšs entend une voix qui lui parle : c’est Suzanne, 10âŠ
Ani FleurdĂ©pi, 10 ans, est une fine connaisseuse en matiĂšre dâĂ©cologie, un univers dans lequel elle baigne depuis toute petite.âŠ
Les Clopin-Clopant ? Quatre hĂ©ros, sans peur et sans reproche ! Mais pas sans handicap. Ils ont tous quelque choseâŠ
Enfin une maison Ă soi, aprĂšs cinq annĂ©es en centre dâaccueil. Mais Roya estime quâune vraie maison ne se conçoitâŠ
Lionel, 8 ans, prĂ©pare sa rentrĂ©e en CE2 ; il partage la passion du foot avec son pĂšre et sonâŠ
Leningrad, URSS. Yevgeni vit dans un minuscule deux-piĂšces avec son pĂšre amoureux de poĂ©sie, sa mĂšre obsĂ©dĂ©e par Baryschnikov, saâŠ
Yani, petit Parisien de dix ans, accompagne sa mĂšre Khadija en Mauritanie pour les vacances : elle-mĂȘme nâa plus revu sonâŠ
Si une mouche pouvait parler, si une frite pouvait parler, si une « fote » dâorthographe pouvait parler… Vingt-deux chapitres deâŠ
Julien a souhaitĂ© qu’une Ă©toile filante tombe sur une troupe de théùtre miteuse, une mĂ©tĂ©orite la percute : il devientâŠ
Archibald, le sympathique renard hĂ©ros du premier tome, est revenu dans sa chĂšre librairie. Mais un nouveau venu, CĂ©lestin Loup,âŠ