Les lettres qataries : comment peut-on ĂȘtre français ?
MARTIN-CHAUFFIER GillesMais comment peut-on ĂȘtre français ? sâinterroge Hassan, diplomate Ă lâambassade du Qatar Ă Paris, dans les lettres de plusieurs pagesâŠ
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Gilles, la soixantaine largement dĂ©passĂ©e, grand-pĂšre alerte et mari heureux, passe des vacances bien gagnĂ©es dans la maison de famille deâŠ
En ce premier siĂšcle avant J-C, Rome rĂšgne sur le bassin mĂ©diterranĂ©en. Les familles patriciennes du SĂ©nat et le triumviratâŠ
Ă VersiĂšres, dans une banlieue parisienne « sensible », un jeune beur est retrouvĂ© mort au bas dâun talus prĂšsâŠ
En 1938, en Bretagne, Ă lâĂle-aux-Moines, Marge, anglo-irlandaise, dĂ©barque avec son pĂšre en voilier. Elle rencontre Blaise, Ă©galement grand navigateur,âŠ
KergĂ©nĂ©an, le commissaire du dix-huitiĂšme arrondissement, revient d’une visite dans un lycĂ©e oĂč il a Ă©tabli « un contact diffĂ©rentâŠ
ThĂšse de l’auteur : mĂȘme si les Bretons ignorent leur glorieux passĂ©, il y aura demain une Bretagne Libre, puisqueâŠ
& &  AgnĂšs de Courroye, pseudo-aristocrate parisienne, intelligente et cultivĂ©e, guide touristique pour cĂ©lĂ©britĂ©s, rencontre ainsi Bruce, star duâŠ
Voici Ă grands traits l’histoire d’une ville, portant successivement trois noms, Byzance, Constantinople et Istanbul, dont la fondation par Byzas,âŠ